Qui dit vacances, dit lecture, mon passe-temps favoris, lorsque je m’accord un peu de repos. Les vacances idéales ? Du soleil, un bon livre et confortablement installé au bord d’une piscine. Sur une semaine, j’aime varier le plaisir et j’ai pour habitude de lire deux ou trois romans noirs (Pour le connaisseurs, j’ai lu
Rural Noir de Benoit Minville,
En ce sanctuaire de Ken Bruen et commencé
Cendrillon mon amour de Lawrence Block mais également un livre plus professionnel, ou orienté sur le développement personnel.
Cette semaine, j’ai apporté dans ma valise, le livre «
Bien dans son job, c’est possible » de Berverly Kaye et Sharon Jordan-Evans, deux consultantes américaines, spécialisées dans le développement de carrière et le coaching de dirigeants.
Au moins la moitié des Français sont heureux au travail. Tout le monde, moi y compris, s’est posé des questions à un moment de sa carrière : À quoi bon avoir une brillante carrière si elle me rend triste ? A quoi bon avoir une belle maison si je n’y suis jamais ? A quoi bon avoir une passion si je n’ai jamais le temps de m’y consacrer. Nous sommes tellement occupés à essayer de faire tout ce que nous croyons devoir faire que nous n’avons plus de temps pour faire ce dont nous avons envie.
Ce livre encourage à agir et à prendre sa vie en main. Pour y aider, nous donner des pistes, les auteures nous proposent 26 approches simples et efficaces pour transformer la routine en une expérience épanouissante et enrichissante, car détester les lundis est une bien triste façon de passer le septième de sa vie, non ?
Pour se donner l’envie de se lever chaque matin, un seul mot d’ordre : Progresser, se faire plaisir et apprendre à rebondir et à sortir du lot.
Véritable, remède contre l’ennui et l’immobilisme, «
Bien dans son job, c’est possible ! », c’est 26 propositions simples, de nombreux conseils, outils, témoignages et suggestions.
Et moi alors ?
Oui je suis heureux dans mon travail ! J’ai, chaque jour, le le sentiment d'être utile, d’avoir nourrit ma soif de connaître et l’enrichissement personnel que j’en retire fait passer au second plan la fatigue qu'il génère.
Vous avez peut-être déjà entendu la phrase :
L'homme passionné par son travail n'a pas le sentiment de travailler. C’est exactement ce que je ressens !
Mon travail est une véritable source d’épanouissement, aligné avec mon talent naturel, et mon potentiel.
SAS est d'ailleurs l'entreprise idéale pour se sentir bien au travail. En effet, au niveau mondial,
plus de la moitié de la masse salariale est investie dans le bien-être des employés. Il s'agit d'une vraie philosophie d’entreprise. Je pense que c'est grâce à cela que nous donnons le meilleur de nous-même au travail. C'est bon pour nous et c'est bon pour l'entreprise.
Et vous ?
